Mahagi-Nioka : l’Association Elizabeth et Marie pour la Paix et le Développement a célébré son vingtième anniversaire.
C’est en la solennité de la visitation le vendredi 31 mai 2024 que, l’association ELIMAPAD de la Caritas Mahagi-Nioka a fêté son vingtième anniversaire d’existence. Et ce, au centre d’accueil de l’institution caritative.
La journée a été ponctuées de plusieurs activités notamment, un apostolat dans les quartiers de la commune de Mahagi, un enseignement sur Elizabeth et Marie et la sainte eucharistie. S’agissant de l’apostolat, elle a ciblé les personnes malades et les personnes de troisième âge dans certaines familles. Au cours de celle-ci, les mamans d’ELIMAPAD ont apporté parole de vie et quelques assistances en vivre et en nature.
En début d’après-midi, c’est l’enseignement qui a commencé. Dans cette partie, le professeur Abbé Godefroy Upartho a peint le profil d’Elizabeth et Marie avant d’inviter ces mamans à aimer la prière. « Elizabeth et Marie font partie de la communauté juive fidèle, elles se souviennent des bienfaits de Dieu dans l’histoire de leur peuple. Elles vivent aussi dans la lumière de la parole de Dieu, et étudient minutieusement la parole de Dieu en orientant leur regard vers le ciel au vu de la valeur qu’elles ont au regard de Dieu. Ces femmes ont fait don de leur propre vie à Dieu et ces femmes sont remplies de joie. Nous devons retenir et je vous exhorte que, nous devons donner au monde la joie au monde par notre manière de vivre. Cette joie, nous la donnerons si nous aimons la prière » exhorte l’homme de Dieu.
Fini cette étape, cap sur la sainte eucharistie. Dans son homélie, l’abbé Prosper Rugamba exalte comme son confrère, abbé Godefroy Upartho les qualités de Marie et Elizabeth. L’officient interpelle pour sa part à l’humilité s’inspirant de l’évangile. « je voulais terminer par cet extrait de l’évangile. N’ayez pas le gout de la grandeur mais laissez-vous attirer les choses simples parce que, même Marie le dit, les puissants, il les rabaisse mais les humbles, il les relève » paraphrase le Directeur de la Caritas Mahagi-Nioka.
Vingt-ans d’existence, ça se fête, voilà qui a justifié la clôture des activités par un cocktail confraternel.
Désiré Uwekmeno
La journée a été ponctuées de plusieurs activités notamment, un apostolat dans les quartiers de la commune de Mahagi, un enseignement sur Elizabeth et Marie et la sainte eucharistie. S’agissant de l’apostolat, elle a ciblé les personnes malades et les personnes de troisième âge dans certaines familles. Au cours de celle-ci, les mamans d’ELIMAPAD ont apporté parole de vie et quelques assistances en vivre et en nature.
En début d’après-midi, c’est l’enseignement qui a commencé. Dans cette partie, le professeur Abbé Godefroy Upartho a peint le profil d’Elizabeth et Marie avant d’inviter ces mamans à aimer la prière. « Elizabeth et Marie font partie de la communauté juive fidèle, elles se souviennent des bienfaits de Dieu dans l’histoire de leur peuple. Elles vivent aussi dans la lumière de la parole de Dieu, et étudient minutieusement la parole de Dieu en orientant leur regard vers le ciel au vu de la valeur qu’elles ont au regard de Dieu. Ces femmes ont fait don de leur propre vie à Dieu et ces femmes sont remplies de joie. Nous devons retenir et je vous exhorte que, nous devons donner au monde la joie au monde par notre manière de vivre. Cette joie, nous la donnerons si nous aimons la prière » exhorte l’homme de Dieu.
Fini cette étape, cap sur la sainte eucharistie. Dans son homélie, l’abbé Prosper Rugamba exalte comme son confrère, abbé Godefroy Upartho les qualités de Marie et Elizabeth. L’officient interpelle pour sa part à l’humilité s’inspirant de l’évangile. « je voulais terminer par cet extrait de l’évangile. N’ayez pas le gout de la grandeur mais laissez-vous attirer les choses simples parce que, même Marie le dit, les puissants, il les rabaisse mais les humbles, il les relève » paraphrase le Directeur de la Caritas Mahagi-Nioka.
Vingt-ans d’existence, ça se fête, voilà qui a justifié la clôture des activités par un cocktail confraternel.
Désiré Uwekmeno
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